A Tindouf, tous les abus sont permis même le commerce des enfants
Les trafics d’armes et de stupéfiants, ni même les détournements des aides humanitaires destinées aux réfugiés des camps de Tindouf, ne semblent suffire pour assouvir la soif d’enrichissement des pontes du Polisario et de leurs complices algériens.
Un quotidien marocain vient de révéler l’existence d’un vaste réseau de traite d’enfants issus des camps de Tindouf.
Selon le quotidien arabophone « Assabah », des dirigeants du Polisario en mèche avec de hauts responsables algériens s’adonnent ces derniers temps à un nouveau genre de trafic d’êtres humains. Ce trafic concerne malheureusement des enfants innocents de bas âge. Ces derniers sont enlevés de force à leurs parents pour soi-disant être envoyés dans des pays d’accueil en Europe pour des colonies de vacances. Mais, en réalité, un bon nombre de ces enfants, une fois sur place, ils sont livrés à des familles occidentales pour adoption en contrepartie d’importantes sommes d’argent remises à des intermédiaires qui travaillent pour le compte des dirigeants du Polisario.
Les fonds ainsi récoltés sont directement versés dans les comptes bancaires détenus par les commanditaires de ces transactions surréalistes, alors que des miettes sont remises aux familles des enfants vendus, une façon de les rassurer que leur progéniture est entre de bonnes mains et aura un meilleur avenir qu’à Tindouf.
Plus grave encore, certaines organisations impliquées dans ce réseau international de trafic d’enfants, s’emploient à convertir au christianisme les enfants sahraouis à la date de leur adoption.
Lorsque la manne des aides humanitaires internationales coulait encore à flot, les enfants dans les camps de Tindouf étaient expatriés chaque année, par centaines vers des camps d’endoctrinement à Cuba.
Maintenant que la crise économique internationale a obligé la plupart des pays donateurs de réduire drastiquement ou de suspendre carrément leurs aides aux populations des camps de Tindouf, les pontes du Polisario font preuve d’imagination pour trouver de nouvelles astuces d’enrichissement. Ce qui est tout à fait normal dans une zone de non droit où tout est permis. Les tortionnaires du Polisario n’ont pas à s’inquiéter puisqu’en plus, grâce à leur propagande financée par le contribuable algérien, la communauté internationale et les ONG de défense des droits n’ont d’yeux rivés que sur le Sahara Occidental, partie contestée du territoire marocain.