Un nouveau crime odieux inscrit par le Polisario à son palmarès de lâcheté
Les sanguinaires du Polisario viennent d’inscrire un nouveau crime odieux à leur palmarès déjà bien étoffé. L’opposant sahraoui Khalifa Oueld Mohammed El Ouali Oueld Maâ El Aynaine a été froidement liquidé par les tortionnaires du mouvement séparatiste qui font la loi dans les camps de Tindouf sur le sol algérien. Selon le Forum de Soutien aux Autonomistes de Tindouf (FORSATIN) citant des sources sécuritaires à Tindouf, un nouveau crime affreux a été commis par les criminels du Polisario à l’encontre d’un homme qui s’est toujours opposé aux thèses séparatistes de la bande des mercenaires agissant sous les ordres des généraux algériens et au service de causes diamétralement opposées aux intérêts et aux espérances des populations sahraouies séquestrées contre leur gré dans les camps de Tindouf.
Avant de rendre l’âme, Khalifa Oueld Mohammed El Ouali avait entamé une campagne de sensibilisation auprès des familles sahraouies, pour exiger des dirigeants du mouvement indépendantiste, leur part des aides humanitaires internationales. L’opposant sahraoui a été froidement assassiné à titre punitif pour ces actions et pour avoir tenté de révéler au grand public les dessous de l’intoxication alimentaire, dont ont été récemment victimes plusieurs habitants des camps de Tindouf, dont des enfants de bas âge.
Comme d’habitude, pour se disculper et se laver les mains de ce lâche assassinat, les commanditaires membres de la direction du Polisario ont choisi deux bouc-émissaires parmi les opposants au mouvement séparatiste pour leur coller la responsabilité de la mort de Khalifa Oueld Mohammed El Ouali.
Tout en condamnant cet odieux crime, le Forum de Soutien aux Autonomistes de Tindouf tient à préciser que les velléités et les conspirations du dirigeants du Polisario ne peuvent plus passer inaperçus, les populations sahraouies de Tindouf et particulièrement sa jeunesse bien éveillée, sont pleinement conscients de ces ignobles agissements et font avec les moyens de bord dont ils disposent pour concrétiser le rêve du changement qu’ils caressent surtout depuis le début du printemps arabe.