Août, « le mois de la patrie par excellence » au Maroc – média égyptien –
Le mois d’août est « le mois de la patrie par excellence » au Maroc, au cours duquel les Marocains célèbrent trois fêtes nationales, à savoir l’anniversaire de la récupération de la province d’Oued Eddahab, l’anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple et la Fête de la Jeunesse, écrit le site d’information égyptien « Dar Al-Hilal ». Dans un article intitulé « Le mois de la patrie par excellence », le site ajoute que le peuple marocain célèbre, le 14 août, l’anniversaire de la récupération de la province d’Oued Eddahab, qui fait partie du Sahara que le Royaume du Maroc a récupéré en 1975, notant que les Marocains commémorent également, le 20 août, l’anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, « l’événement qui remonte à l’année 1953 et coïncide avec la lutte du Roi et du Peuple, étant donné que feu SM Mohammed V et la famille royale restaient déterminés quant au départ du colonisateur français et la libération de la patrie ». Le troisième événement national, selon l’auteur de l’article, le journaliste et écrivain Hassan El-Atafy, consiste en la Fête de la Jeunesse, qui est l’anniversaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, célébré le 21 août de chaque année, soulignant que ce jour est devenu une fête nationale après l’accession du Souverain au Trône en 1999. Il poursuit que ces trois fêtes nationales constituent une opportunité de s’arrêter sur des étapes importantes de l’histoire moderne du Maroc et de rappeler aux générations montantes des événements phares, notamment ceux lies aux luttes des parents et des aïeuls. Le mois d’août, considéré comme un mois pour la patrie, est marqué par trois fêtes nationales, suivi du mois de novembre, qui connaît la célébration de l’anniversaire de la Marche verte (6 novembre) et de la Fête de l’Indépendance (18 novembre), jour de la sortie de l’étape de lutte contre le colonisateur que feu SM Mohammed V qualifiait de « petit jihad » et du début de l’ère du « grand jihad » pour construire un Maroc de liberté et d’indépendance, conclut-il.