Sahara marocain : un remarquable essor socioéconomique
En effet, selon un rapport récent, réalisé par un expert international du PNUD, finalisé en 2OO8, sur la base de données objectives et vérifiables, chiffres à l’appui, et non rendu public, il en ressort que les divers indices de développement humain, adoptés par les organismes internationaux, tels que la scolarisation, la santé, l’éducation, l’eau potable, l’électricité, les infrastructures de base ou les transports sont nettement supérieurs à la moyenne nationale, avec un ratio de bien-être économique significatif et un niveau de vie supérieur à la moyenne enregistrée au Maroc, mais aussi dans les pays arabes non pétroliers.
Il est à rappeler qu’en 1975, date de la récupération par le Maroc de son territoire du sud, le taux de pauvreté des populations semi-nomades sahraouies était assez alarmant. La majorité des populations recensées à l’époque vivait au dessous du seuil de pauvreté et l’ignorance, l’analphabétisme et le manque de soins médicaux étaient généralisés, tandis que les infrastructures de base quasi inexistants ou quand elles existaient, elles étaient délabrées et inopérantes. Depuis, les pouvoirs publics ont mis les bouchées doubles afin de rattraper les retards accumulés durant la colonisation espagnole et inverser la tendance.
Il est à rappeler qu’en 1975, date de la récupération par le Maroc de son territoire du sud, le taux de pauvreté des populations semi-nomades sahraouies était assez alarmant. La majorité des populations recensées à l’époque vivait au dessous du seuil de pauvreté et l’ignorance, l’analphabétisme et le manque de soins médicaux étaient généralisés, tandis que les infrastructures de base quasi inexistants ou quand elles existaient, elles étaient délabrées et inopérantes. Depuis, les pouvoirs publics ont mis les bouchées doubles afin de rattraper les retards accumulés durant la colonisation espagnole et inverser la tendance.
Aussi, entre 1984 et 2004, le niveau de vie et le bien être des populations a quasiment doublé, le PIB dépasse la moyenne nationale et le volume des infrastructure s’est envolé. Les investissements effectués, les salaires et les aides versés par l’Etat ont largement contribué à cette élévation de niveau de vie. Le niveau d’instruction publique, de médicalisation et d’accès aux infrastructures enregistre une progression remarquable et dépasse de loin le score national. L’espérance de vie enregistrée, dans les villes du sud, autour de 72,5 ans, a connu la même progression positive que les autres indicateurs de développement humain, ainsi que la baisse significative de la mortalité infantile.
Aussi, selon le rapport, la progression continue de l’IDH au rythme prouvé de 2,3 % par an permettrait, si la tendance se confirmait, dans les années à venir, d’atteindre le seuil critique, défini par le PNUD de 0, 800, chiffre qui est considéré par les experts, comme un indicateur d’un développement humain élevé.
Par ailleurs, sur le plan linguistique, il est à noter que l’arabe, accompagné de la hassanya, devient la langue dominante du paysage linguistique du Sahara, alors que le français est en nette progression dans la vie économique de la région.
Tenant compte de tout cela, le rapport en arrive à la conclusion que « les acquis accumulés dans les provinces du sud depuis leur intégration au Royaume devraient, à terme, leur permettre de franchir le seuil de l’irréversibilité en termes de développement humain » élevé.
Le rapport préconise à la fin l’instauration de grands pôles économiques qui pourraient jouer le rôle de locomotive économique et d’attraction puissante et productive des capitaux et des hommes autour de villes comme Laâyoune, Dakhla, Boujdour, Guelmim et Tan Tan.
Aussi, selon le rapport, la progression continue de l’IDH au rythme prouvé de 2,3 % par an permettrait, si la tendance se confirmait, dans les années à venir, d’atteindre le seuil critique, défini par le PNUD de 0, 800, chiffre qui est considéré par les experts, comme un indicateur d’un développement humain élevé.
Par ailleurs, sur le plan linguistique, il est à noter que l’arabe, accompagné de la hassanya, devient la langue dominante du paysage linguistique du Sahara, alors que le français est en nette progression dans la vie économique de la région.
Tenant compte de tout cela, le rapport en arrive à la conclusion que « les acquis accumulés dans les provinces du sud depuis leur intégration au Royaume devraient, à terme, leur permettre de franchir le seuil de l’irréversibilité en termes de développement humain » élevé.
Le rapport préconise à la fin l’instauration de grands pôles économiques qui pourraient jouer le rôle de locomotive économique et d’attraction puissante et productive des capitaux et des hommes autour de villes comme Laâyoune, Dakhla, Boujdour, Guelmim et Tan Tan.