Le Polisario s’offre les services de la mafia serbe
Les dirigeants du Polisario progressivement abandonnés par Cuba et ses instructeurs, se paye actuellement les services d’un groupe mafieux serbe pour mettre en pratique ses thèses séparatistes.
Grâce à l’argent des caisses noires de l’Etat algérien, la direction du Polisario a fait appel aux services subversifs d’une ONG serbe, spécialisée dans l’organisation des insurrections populaires, pour semer le trouble dans les provinces du Sahara Occidental marocain.
Selon Global Research, un Centre de recherche sur la mondialisation basé à Montréal au Canada, l’ONG serbe qui agit sous la dénomination de « CANVAS » (The Center for Applied Nonviolent Action and Strategies), opère actuellement sur commande du Polisario, dans les provinces sud du Maroc.
Dans un article signé par Ruben Ramos, Global Research rappelle que CANVAS a été créée en 2004, par deux activistes serbes qui luttaient contre le pouvoir de l’ex-dirigeant serbe Slobodan Milosevic. Les deux hommes Srdja Popovic et Slobodan Dinovic, précise la même source, appartenaient à une organisation serbe d’instrumentalisation politico-militaire du nom d’OTPOR (résistance en serbe).
Selon l’article publié sur le site mondialisation.ca de Global Research, CANVAS est derrière des insurrections populaires dans une centaine de pays, dont certains d’Afrique du Nord notamment le Maroc, la Tunisie, la Libye et l’Egypte. Bien entendu l’Algérie qui soutient et finance le Polisario est épargnée.
Le modus operandi de CANVAS est d’inciter les populations à s’insurger contre les gouvernements en place. L’ONG organise aussi des voyages de jeunes « leaders » en Serbie, aux frais d’institutions parfois européennes et américaines. Ces jeunes élus, y bénéficient d’entrainements aux méthodes d’insurrections, de mobilisation et d’ameutement dans les rues et sur les places publiques et via le web.
Les autres techniques auxquelles sont formés les insurgés stagiaires sont : les tactiques d’attaque et de fuite, la fabrication et usage d’explosifs domestiques, l’incendie de véhicules, l’obstruction du trafic piétonnier et des véhicules, la destruction de propriétés et biens privés, l’assaut des institutions, sabotage, production de chaos et de zizanie, pillage de centres commerciaux, méthodes de propagande active, et déroulement du modèle ARC (Action, Recrutement, Capacitation).
C’est justement le même mode opératoire que les réseaux sociaux ont révélé chez les jeunes insurgés sahraouis rémunérés par le Polisario et le régime algérien pour accomplir cette sale besogne au Sahara Occidental.